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TEXTES CHOISIS
Le jour se lève, tu voudrais qu'il s'achève 
L'arrivée du printemps te laisse indifférent 
Tu ne comprends pas ce qui se passe en toi
Tu te sens prisonnier de ce monde insensé 
Donne-toi le temps d'apaiser les tourments 
D'oublier les rancoeurs qui effritent ton coeur
Tu n'es pas seul regarde autour de toi 
Tous ceux qui t'aiment autant que moi 
Tu n'es pas seul. ne sombre pas dans la nuit
Choisis la lumière de la vie 
Tu voudrais pleurer la tête dans l'oreiller 
Pour étouffer tes larmes, laisser tomber les armes
Tu ne connais pas l'enfant qui dort en toi 
Depuis combien d'années ne l'as-tu pas bercé 
Tu n'es pas seul regarde autour de toi
Tous ceux qui t'aiment autant que moi 
Tu n'es pas seul ne sombre pas dans la nuit 
Choisis la lumière de la vie
Donnes-toi le temps d'apaiser les tourments 
D'oublier les rancoeurs qui effritent ton coeur
Tu n'es pas seul regarde autour de toi 
Tous ceux qui t'aiment autant que moi 
Tu n'es pas seul ne sombre pas dans la nuit 
Choisis la lumière de la vie 
Choisis la lumière de la vie . . . 
auteur inconnu
                                                                                                           

Quand un enfant disparaît
C’est une partie de soi 
qui part aussi vers l'au -delà.
Et pourtant, il faut rester sur terre, 
vivre et faire semblant 
d'être là tout entière! 
Que de fois il m'arrive 
d'avoir l'impression de me retrouver entre ciel et terre.
D'ici-bas je me sens absente, 
ne sachant plus très bien 
le monde qui est le mien. 
Mes efforts semblent vains 
pour essayer de te rejoindre.
Es-tu tellement loin? 
Non, mais voilà 
une autre partie de moi 
me retient, ici-bas.
Est-il possible de vivre ainsi, partagée 
entre deux mondes si distants, 
les disparus et les présents? 
Où en trouver la force?
Mais tout simplement: 
dans mon amour de maman!

Sang pour sang (J. Halliday) 
J'ai pas toujours trouvé les mots 
Pour bercer tes rêves d'enfant 
Ensemble on est devenu grand 
De bons points en double zéro 
Paralysés par tant d'amour 
On s'apprivoise au jour le jour 
J'ai jamais su trouver les gestes 
Qui pouvaient soigner tes blessures 
Guider tes pas vers le futur 
À tous les signaux de détresse 
Dis, comment j'aurais pu faire face 
Pris entre le feu et la glace 
Au delà de nos différences 
Des coups de gueule des coups de sang 
À force d'échanger nos silences 
Maintenant qu'on est face à face 
On se ressemble sang pour sang 
Comme si les battements de nos cœurs 
Etaient sûr la même longueur d'ondes 
Les lignes de nos mains se confondent 
Tu me renvoies comme un miroir 
Mes doutes et mes éclats de rires 
La promesse d'un autre avenir 
Peu importe si la vie menace 
Ce qui reste en nous d'innocent 
Puisqu'on se comprend à présent 
Peu à peu la douleur s'efface 
On en garde plus qu'une trace 
Comme une offense au temps qui passe 
Au-delà de nos différences 
Des coups de gueule des coups de sang 
A force d'échanger nos silences 
Maintenant qu'on est face à face 
On se ressemble sang pour sang 
Au-delà de nos différences 
A force d'échanger nos silences 
Maintenant qu'on est face à face 
On se ressemble sang pour sang 
Tous les deux sang pour sang 
Tout les deux sang pour sang 
Oui, sang pour sang

   
  A nos anges
Que d'étoiles dans le ciel! 
        Vois comme elles étincellent ! 
  Selon une légende d'antan, 
    Ce sont les âmes des enfants 
    Morts sans avoir eu le temps 
      De seulement devenir grands.
   Ils protègent toutes les nuits 
   Leur maman endormie

VA MON ANGE
                                      
Va mon petit ange, déplie tes douces ailes   
puisque la vie ici te quitte   
envole-toi vers ce grand ciel 
et tant pis si mes yeux me piquent. 
Tu as bien assez souffert ici bas 
envole-toi vers l'au-delà  
même si cette douloureuse absence  
restera pour moi ici souffrance. 
Tu sera toujours au fond de moi 
dans le creux de mon coeur tu dormiras 
et dans mes heures de grands combats
ta douce présence me réchauffera.
Va mon petit ange, va 
ne te retiens pas pour moi
Je resterai debout, ne t'inquiète pas
je garderai pour que rien ne change
le bonheur en moi d'avoir ici-bas
rencontré un ange ...
Et dans mon coeur à jamais et pour toujours
je saurai ce que signifie le mot
AMOUR

Tous les regards vers la voûte céleste sont tournés
Quand vient la nuit pour admirer la voie lactée, 
Ces milliers d'étoiles qui toujours luisent, 
Ces astres mystérieux qui jamais ne s'épuisent, 
Le ciel, ce tableau qui se mélange quand vient la nuit, 
C’est la résidence de nos anges Leurs pleurs, c’est la pluie 
Gouttes de cristal, sur nous elles tombent, 
Pour ne pas oublier qu'eux aussi pleurent chaque jour de pluie un ange succombe, 
A sa tristesse, et dans la douleur il se meure. 
Leur sourire, c'est le soleil, 
Habitants du Paradis, sur nous ils veillent, 
Le vent nous murmurent leurs mots, 
Pour que dans le noir, on puisse encore avoir chaud. 
Une légère brise ou un hurlement, 
Des conseils ou des plaintes de ces petits anges, 
Un cri de joie, de douleur ou un chuchotement, 
Un message d'eux réconfortant et parfois étrange.
Leurs messages qui parviennent sur terre grâce aux éléments,
Et qui forment un sourire un peu mélancolique sur notre visage, 
Une preuve qu'ils nous accompagnent à chaque instant,
Qu'ils sont parfois invisibles mais qu'ils nous aident à noircir les pages. 
Ces êtres éternels, êtres de pureté, 
Leurs ailes aux plumes d'or déployées, 
Résident en ces nébuleuses, 
Pour que leur existence reste mystérieuse.
Remarquables mortels dont les ailes ont poussées, 
Qui à la fin du chemin, ont réussi à s'envoler, 
Qu'on croit avoir vu partir, sans jamais plus les retrouver, 
Mais qui, en veillant sur nous, ne cessent de nous accompagner.

T'es parti pour un monde meilleur
 Mais tu resteras toujours dans mon coeur.
Toi, qui nous faisait rire.
Maintenant, tu  me fais pleurer
T'as repris ta liberté,
Mais tu m'as laissé dans ce monde,
Où la peine et la haine règnent.
On ne peut plus se mentir, tu nous as bien quitté.
Mais pourquoi toi ??
Je devrais m'adapter, résister, ne garder que
Les bons souvenirs, les bons moments.
Mais c'est tellement difficile,
De ne plus penser à une personne que l'on aime.
Les larmes que l'on cache, sont les plus sincères.
On dit souvent que la douleur s'estompe avec le temps.
Pourtant la mienne est toujours présente.
La douleur ne s’en va pas, on apprend à vivre avec
Maman

LE CIEL EST A MOI
    Presque rendu au bout du mon temps. Mais, voici que sont ouverts 
Les grands bras de la lumière. Et voilà que je pars vers l'univers
Je pars, je pars. Je monte, je monte
Je vole. Le ciel est à moi
Je parle aux étoiles. Je plane de soleil en soleil
Je vole, je vole. Je brille je brille,
Je vis. Le ciel est à moi
L'infini est bleu. Bleu et doux et bon et merveilleux!
J'étais sans vie et sans voix. L âme pleine de''pourquoi'
Perdu dans le silence et dans les mots
Quelle est la raison des choses. Des galaxies et des roses?
On le sait quand on sait. Que tout est beau
Refrain je pars, je pars.........
J'étais sans vie et sans voix. Sans espérance et sans joie
Presque rendu au bout du temps. Mais, voici que se sont ouverts
Les grands bras de la lumière. Et voilà que je pars vers l'univers
Chanson du film 'le papillon bleu' interprétée par Marie Elain Thibert

LES MOTS EXACTS POUR LE DIRE
    Je vous en prie, ne me demandez pas si j'ai réussi à le surmonter,
Je ne le surmonterai jamais.
    Je vous en prie, ne me dites pas qu'il est mieux
    Là où il est maintenant 
    Il n'est pas ici auprès de moi. 
    Je vous en prie, ne me dites pas qu'il ne souffre plus, 
    Je n'ai toujours pas accepté qu'il ait dû souffrir. 
    Je vous en prie, ne me dites pas que vous savez ce que je ressens, 
    A moins que vous aussi, vous ayez perdu un enfant. 
    Je vous en prie, ne me demandez pas de guérir, 
    Le deuil n'est pas une maladie dont on peut se débarrasser. 
    Je vous en prie, ne me dites pas 
    Au moins vous l'avez eu pendant tel nombre d'années', 
    Selon vous, à quel âge votre enfant devrait-il mourir? 
Je vous en prie ne me dites pas que Dieu
    N’inflige pas plus que ce que l'homme peut supporter. 
    Je vous en prie, dites-moi simplement que vous êtes désolés. 
    Je vous en prie, dites-moi simplement que vous souvenez 
    De mon enfant, si vous vous rappelez de lui. 
    Je vous en prie, laissez-moi simplement parler de mon enfant. 
    Je vous en prie, mentionnez le nom de mon enfant. 
    Je vous en prie, laissez-moi simplement pleurer 
Rita Moran

Toi, t'es parti sans me dire au revoir
Toi, si malheureux dans ta vie familiale
Toi, qui a laissé des gens plus que tristes
Où tu es, as-tu réussi à libérer ton âme ?
Toi mon Laurent, m'entends-tu?
Moi, si malheureuse depuis que tu es parti
Je ne peux pas crier, hurler mon désarroi
Moi, qui ne vis plus, respire ...comment?
Je ne sais pas
Moi, qui n'ai plus envie de rien, qui me ts dans le vide
Moi, qui ne sait plus ce que veut dire le mot
 
 
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